Avec 45% d’utilisateurs ages de 25 a 34 ans, l’application de dating attire des annonceurs. Encore faut-il savoir exploiter le potentiel de la plateforme.
Qui ne connait jamais Tinder, cette application de dating lancee en 2012 a toutes les Etats-Unis et qui se sert de ce geolocalisation pour vous proposer, au hasard et a la maniere d’un album Panini, une serie de personnes avec lesquelles vous pourriez avoir des affinites? Faites glisser la photo d’un match potentiel vers la droite et cela revient a dire «je suis interesse(e)». En revanche, swipez par la gauche Afin de dire que cette personne n’est jamais a votre gout. Le jeu commence Quand 2 individus paraissent reciproquement attires l’un avec l’autre. Rien encore normal a l’ere du tout digital!Selon le Global Web Index, 45% des utilisateurs de Tinder (soit plus de 50 millions de gens) ont entre 25 et 34 ans (des millennials donc), tandis que 38% ont entre 16 et 24 ans (la fameuse generation Z). Au total, votre paraissent nullement moins d’1,5 milliard d’interactions/swipes par jour qui paraissent enregistres au sein de l’application, pour une duree moyenne d’utilisation de 30 minutes quotidiennes.Les statistiques seront tres bonnes pour une application qui se vante de l’ensemble de ses utilisateurs jeunes et neo-romantiques aupres des annonceurs branches, qui ont d’emblee compris le potentiel d’un tel reseau social. Reste a savoir comment inclure Tinder dans sa strategie de digital marketing.
Des services personnalises Dans une strategie classique de cout-par-vue, Il semble possible de deployer des pop-ups dans l’appli ou de tirer parti des fonctionnalites sociales du support, en creant Prenons un exemple des profils prives interagissant en temps reel au milieu des utilisateurs. Ca permettra surtout de profiter de informations geolocalisees pour proposer des prestations personnalises aux utilisateurs, d’impliquer emotionnellement, rendant les utilisateurs plus receptifs aux messages, ainsi, enfin de creer des campagnes conscientes.J’ai cru que c’etait l’amour et en fait non, c’etait d’la pub. Continue reading “Mes marques aussi ont des trucs a faire dans Tinder”