Neanmoins, la Technological Review observe un phenomene tout a fait passionnant : des gens ressentiraient une fatigue a l’usage de ces applications
Notre fatigue une drague sur les applis
On le sait, les applications de rencontre ont pris place au quotidien de nos contemporains, surtout des plus jeunes. Mes photos apparaissent. Swipe gauche je jette, swipe droit je like. Si ca matche, rapide discussion, rendez-vous le jour, avec l’espoir d’un plan cul ou d’une histoire d’amour, c’est d’apri?s. Ces applis s’appellent Tinder, Grindr, Bumble, Happn il y en a concernant l’integralite des genres, toutes les sexualites, chacune des attentes.
Mais voila que la Technological Review – forcement a la pointe – observe un phenomene tout a fait attractif.
Des gens ressentiraient une fatigue a l’usage de ces applications (un peu l’equivalent d’la “Zoom fatigue” qui nous atteint pendant le premier confinement), ils en auraient marre de swipper, marre de voir defiler par dizaines de visages aux poses stereotypes, marre des dragues rapides et repetitives, ils en auraient marre de bien ca, mais ils n’auraient jamais Afin de autant renonce a utiliser un portable Afin de pecho.
Et que font ces gens ?
Les strategies divergent. Divers quittent les applications pour des reseaux sociaux et utilisent, Twitter ou TikTok, Afin de annoncer leur celibat et la recherche de l’amour. Ils entament donc des conversations sur internet, profitent de l’aide et des mises en relations avec des amis d’amis etc.
D’autres ont recours a des procedes plus organises : une newsletter envoie chaque semaine votre seul profil de celibataire a plusieurs centaines d’abonnes, votre profil redige de maniere drole et personnelle.
Ce qui est opportun la-dedans : le retour a une drague sans algorithme
Notre promesse des applications de rencontres, c’est le “match algorithmique”, des programmes informatiques fabriques pour maximiser la correspondance entre les profils en brassant plein de criteres, qui ne sont jamais explicites d’ailleurs. Les solutions dont je vous parle paraissent nombre plus personnalisees, font plus confiance a l’humain.
Deuxieme element attractif : les applis de rencontre du genre de Tinder reposent concernant la geolocalisation, elles vous trouvent des personnes accessibles pres de l’endroit ou vous vous connectez. C’est tres fonctionnel. Les fonds dont je vous parle – reseaux sociaux, newsletter – se passent de cette aide geographique. Pourquoi ? Pourquoi les gens qui cherchent l’amour – ou le sexe – ont-ils renonce a la disponibilite immediate ? Il semblerait que le Covid soit passe par la et qu’a l’occasion des confinements et autres couvre-feu, on se soit rehabitues a l’attente, a Notre rencontre differee, a l’eloignement.
Si cette mode se confirme, elle reste passionnante. Pour nous des vieux qui avons connu nos petites annonces au sein des journaux et les agences matrimoniales, on ne pourra que s’etonner de voir reapparaitre des procedes qui y font penser. C’est Notre reinjection de l’ancien au nouveau. On garde la technologie, mais on y remet un moment, de la conversation, d’une distance. C’est Jane Austen qui revient 1 smartphone a la main….
Notre fatigue des applications de drague
Nous vivons une epoque paradoxale. On le sait, les applications de rencontre ont pris place dans le quotidien de nos contemporains, surtout des plus jeunes. Neanmoins, la Technological Review observe un phenomene tout a fait opportun : des personnes ressentiraient une fatigue a l’usage des applications
On le sait, les applications de rencontre ont pris place dans le quotidien de nos contemporains, surtout des plus jeunes. Mes photos apparaissent. Swipe gauche je jette, swipe droit je like. Si ca matche, rapide discussion, rendez-vous le jour, avec l’espoir d’un plan cul ou d’une histoire d’amour, c’est selon. Ces applis s’appellent Tinder, Grindr, Bumble, Happn il y en a pour tous les genres, l’ensemble des sexualites, l’ensemble des attentes.
Mais voila que la Technological Review – forcement a la pointe – observe votre phenomene tout a fait attractif.
Des personnes ressentiraient une fatigue a l’usage des applications (un peu l’equivalent d’la “Zoom fatigue” qui nous atteint pendant le premier confinement), ils en auraient marre de swipper, marre de voir defiler via dizaines de visages a toutes les poses stereotypes, marre des dragues rapides et repetitives, ils en auraient marre de bien ca, mais ils n’auraient nullement pour autant renonce a choisir un portable Afin de pecho.
Et que font ces chefs d’entreprise ?
Les strategies divergent. Quelques quittent les applications pour nos reseaux sociaux et utilisent, Twitter ou TikTok, pour annoncer leur celibat et la recherche de l’amour. Ils entament donc des conversations web, profitent de l’aide et des mises en relations avec des amis d’amis etc.
D’autres ont recours a des procedes plus organises : une newsletter envoie chaque semaine 1 seul profil de celibataire a certains centaines d’abonnes, votre profil redige de maniere drole et personnelle.
Cela est passionnant la-dedans : le retour a une drague sans algorithme
J’ai promesse des applications de rencontres, c’est le “match algorithmique”, des programmes informatiques fabriques Afin de maximiser la correspondance entre les profils en fuckswipe brassant beaucoup de criteres, qui ne sont jamais explicites d’ailleurs. Les solutions dont je vous cause seront bon nombre plus personnalisees, font plus confiance a l’humain.
Deuxieme facteur passionnant : les applis de rencontre du genre de Tinder reposent via la geolocalisation, elles vous trouvent des personnes accessibles pres de l’endroit ou vous vous connectez. C’est tres pratique. Les moyens dont je vous parle – reseaux sociaux, newsletter – se passent de cette aide geographique. Pourquoi ? Pourquoi les gens qui cherchent l’amour – ou le sexe – ont-ils renonce a J’ai disponibilite immediate ? Il semblerait que le Covid soit passe par la et qu’a l’occasion des confinements et autres couvre-feu, on se soit rehabitues a l’attente, a J’ai rencontre differee, a l’eloignement.
Si cette mode se confirme, elle est passionnante. Pour nous nos vieux qui avons connu des petites annonces dans les journaux et les agences matrimoniales, on ne pourra que s’etonner d’observer reapparaitre des procedes qui y font penser. C’est la reinjection de l’ancien au nouveau. On garde la technologie, mais on y remet un moment, une conversation, en distance. C’est Jane Austen qui revient un smartphone a la main….