Voila un mot lineaire en postambule une Declaration des droits en copine et de Notre citoyenne (1791) d’Olympe de Gouges.
Declaration Plusieurs droits de la copine et de la citoyenne, postambule, introduction
Olympe de Gouges (1748-1793), pseudonyme de Marie Gouze, reste 1 soeur pour lettres d’origine bourgeoise une seconde moitie du 18e siecle.
Le combat contre les injustices et ses ?uvres progressistes l’inscrivent dans le courant des Lumieres.
Cette dernii?re se fit d’abord connaitre via les pieces de theatre.
Sa propre piece a succes L’heureux naufrage (1784) lui valut particulii?rement des critiques Afin de l’ensemble de ses positions anti-esclavagistes.
I§a epaule J’ai Revolution via les brochures qui encouragent des reformes societales en direction de davantage d’egalite entre les citoyens.
Si cette dernii?re plaide d’abord concernant de la monarchie constitutionnelle, i§a termine via rejeter une telle derniere concernant promouvoir Notre republique.
Mais ce qui singularise Olympe de Gouges, c’est surtout sa volonte d’obtenir l’egalite de droits entre hommes et femmes, principe qu’elle defend dans une Declaration Plusieurs droits d’une cherie et de sa citoyenne (1791). (Voir sa fiche de lecture une Declaration Plusieurs droits en femme et de votre citoyenne)
Avec ses discours et l’ensemble de ses ?uvres, cette dernii?re defend vos reformes en mariage original favorables a toutes les jeunes filles et aux bambins et l’abolition pour l’esclavage. Olympe pour Gouges reste malgre tout guillotinee du 1793 Afin de Posseder critique J’ai Revolution.
L’article analyse ici est le postambule (=texte pour conclusion) de la Declaration des droits d’une soeur et de votre citoyenne.
Il a donc Afin de but de resumer l’?uvre ainsi que justifier d’insuffler aux jeunes filles sa force et vos arguments Afin de defendre leurs interets.
Extrait etudie
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Copine, reveille-toi ! Le tocsin de la raison s’fait entendre dans tout l’univers ; reconnais tes droits. Le puissant empire en nature n’est Pas environne de prejuges, pour fanatisme, de superstition et de mensonges. Ce flambeau d’une verite a dissipe l’integralite des nuages en sottise ainsi que l’usurpation. L’homme esclave a multiplie les forces, a eu l’usage pour recourir a toutes les tiennes concernant briser les fers. Devenu dispo, Cela reste devenu injuste envers sa compagne. O dames ! Dames, des que cesserez-vous d’etre aveugles ? Quels sont nos privili?ges que nous avez eu recueillis au sein de J’ai revolution ? Un mepris Pas marque, un dedain plus signale. Dans les siecles de corruption vous n’avez regne que concernant J’ai faiblesse quelques gari§ons. Votre empire reste detruit ; que nous reste-t-il Alors ? Sa conviction Plusieurs injustices de l’homme. Votre reclamation de ce patrimoine fondee sur les sages decrets en nature ! Qu’auriez-vous pour redouter concernant de trop superbe firme ? Le bon mot d’un Legislateur des noces de Cana ? Craignez-vous que des Legislateurs francais, correcteurs pour cette morale, un certain temps accrochee aux branches d’la politique, Neanmoins, , lequel n’est environ saison, ne nous repetent : « jeunes filles, qu’y a-t-il de commun entre vous et nous ? » — Tout, auriez-vous a repondre. S’ils s’obstinaient, Avec un faiblesse, a mettre cette inconsequence de contradiction manii?re leurs principes ; opposez courageusement J’ai force une raison a toutes les vaines pretentions de superiorite ; reunissez-vous sous les etendards d’une philosophie ; deployez toute l’energie de ce caractere, et vous verrez bientot ces orgueilleux, non serviles adorateurs rampants pour les pieds, cela dit, fiers de partager manii?re nous tous les tresors de l’Etre Supreme. Quelles que se trouvent leurs barrieres que l’on vous oppose, Cela reste de ce i?tre capable de de leurs affranchir ; nous n’avez qu’a Un vouloir.Passons i present a l’effroyable tableau pour Le que vous avez ete au sein d’ la societe; et puisqu’il est question, en ce moment, d’une education nationale, voyons trop nos sages Legislateurs penseront sainement sur l’education des dames. Les femmes m’ont fait environ mal que de bien. J’ai contrainte et J’ai dissimulation m’ont ete un partage. Ce que sa force leur avait ravi, votre ruse leur a rendu; elles ont eu recours pour l’integralite des ressources de leurs charmes, et Votre plus irreprochable ne un resistait gui?re. Mon poison, Ce fer, tout un etait soumis; elles commandaient au crime comme a la vertu. Ce gouvernement francais, surtout, a dependu, au cours de des siecles, de l’administration nocturne Plusieurs jeunes femmes; Un cabinet n’avait point pour secret concernant leur indiscretion: ambassade, commandement, ministere, presidence, pontificat, cardinalat, enfin tout cela caracterise votre sottise quelques hommes, profane et sacre, tout a ete soumis pour ma cupidite et a l’ambition de votre sexe autrefois meprisable et respecte, ainsi, voili Notre revolution, respectable et meprise.Dans votre fai§on d’antithese, que pour remarques n’ai-je point a offrir! Je n’ai qu’un moment Afin de tous les faire, Toutefois i§a fixera l’attention une posterite J’ai Pas reculee. Thunes l’ancien regime, tout est vicieux, bien avait l’air coupable; cela dit, ne pourrait-on jamais apercevoir l’amelioration Plusieurs choses dans J’ai substance aussi quelques vices? De cherie n’avait j’ai besoin que d’etre superbe ou aimable; au moment oi? i§a possedait ces 2 avantages, celle-ci voyait cent fortunes pour les pieds. Quand cette dernii?re n’en profitait Manque, celle-ci avait votre caractere bizarre, ou de la philosophie Mal commune qui J’ai portait a toutes les mepris Plusieurs richesses; aussi i§a n’etait plus consideree que tel de sale tete. La Pas indecente se faisait respecter avec de l’or, le commerce des jeunes femmes etait une espece d’industrie recue au sein de ma toute premiere classe, , lequel, desormais, n’aura environ credit. S’il en avait encore, votre revolution serait perdue, ainsi, thunes de nouveaux rapports, nous serions i chaque fois corrompus. Malgre tout Notre raison peut-elle se dissimuler que chaque chemin a J’ai fortune puisse i?tre ferme pour la femme que l’homme achete comme l’esclave sur les cotes d’Afrique?